Une recette qui vient tout droit
du dernier numéro de "A Tavola".
Le tout est servi sur des sets de table,
très années 70, de Ken Scott,
offerts avec "La Cucina" del Corriere.
En fait de "cappuccino", il s'agit
d'une soupe "poireau-pommes de terre" peu épaisse,
dans laquelle on a ajouté de la crème fraîche légère
ou du lait, selon les goûts.
Les "polpette di Gorgonzola"
peuvent être réalisées en mélangeant
un peu de beurre et du Gorgonzola,
ou en n'utilisant que du "mascarpone de gorgonzola".
On forme de petites boulettes que l'on roule
soit dans des pistaches mixées comme ici,
soit dans des noix mixées.
On les embroche sur de petites "piques"
et on les sert avec la soupe bien chaude !
.
Nous avons dû faire quelques petits
aménagements à la recette originale,
qui prévoyait d'ajouter de la farine,
ce qui, à notre avis, n'aurait servi qu'à former
des grumeaux et à alourdir le tout.
.
Bon courage pour cette fin de semaine !
5 commentaires:
Très esthétique et très bon !
Il n'y a pas que les sets de table qui soient originaux, la marmite aussi est très jolie.
On a eu un déluge de pluie hier en soirée et pendant la nuit, une soupe poireau et pommes de terre devrait nous faire le plus grand bien.
Bonne journée.
Linda
La recette a l'air très bonne et j'aime bien la présentation dans la jolie marmite. C'est bien meilleur mijoté ainsi!
Anne
Bonsoir Totirakapon, je consulte votre très alléchant blog depuis quelques mois et bien entendu, je projette toujours de réaliser certaines de vos recettes; hélas! mes envies sont encore à l'état de projet mais je ne désespère pas...d'y parvenir un jour entre deux opéras et trois voyages!Merci en tout cas pour vos conseils journaliers qui me font saliver. A propos de panisses, le boucher marseillais dont vous parlez dans votre courrier du 25 septembre ne serait pas celui de la rue Breteuil par hasard? Car celui là en a d'excellentes ainsi qu'un panettone à faire pâlir même les Italiens. Bonne soirée.NB
Merci pour tous vos commentaires !
Pour Anonyme, non, il ne s'agit pas du boucher de la rue breteuil, mais de celui de la Rouvière.
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