Pointu à Cassis

Pointu à Cassis
Pointu à Cassis (photo Toti)


« C'est ici un blog de bonne foi, lecteur.
Il t’avertit dès l’entrée que je ne m’y suis proposé aucune autre fin que culinaire et privée.
Je n’y ai aucune préoccupation de ton service ni de ma gloire.
Je l’ai consacré à la commodité particulière et gastronomique de mes parents et amis.
Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière culinaire de mon blog :
il n’est pas raisonnable que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain ».


dimanche 13 novembre 2011

Ma dernière séance (6) : les années 50

Aujourd'hui,
deux films emblématiques
des années 50 :
"Touchez pas au grisbi" (1953)
de Jacques Becker.
C'est une adaptation d’un roman d'Albert Simonin,  premier volet d'une trilogie consacrée au truand vieillissant Max le Menteur, et dont les suites également adaptées à l'écran sont Le Cave se rebiffe et Grisbi or not Grisbi (Les Tontons flingueurs). Touchez pas au grisbi rencontra le succès à sa sortie, marqua les débuts de Lino Ventura à l'écran, et relança la carrière de Jean Gabin, définitivement débarrassé de ses habits du « jeune premier » d'avant-guerre.


et "Le Salaire de la Peur" (1953)
d'Henri-Georges Clouzot.
Venezuela, 1951. Après diverses péripéties, un groupe d'Européens a échoué à Las Piedras, une misérable bourgade où règnent la misère et le chômage. Un jour, un puits de pétrole est ravagé par un gigantesque incendie. Une compagnie pétrolière américaine, la SOC, décide alors d'embaucher quatre hommes afin de convoyer 400 kilos de nitroglycérine, répartis en 2 camions, jusqu'au puits de pétrole. Quatre des Européens sont engagés : Mario, Jo, Luigi et Bimba. Mais la tâche ne sera pas aisée, car les routes sont presque impraticables. Le moindre cahot peut donc être fatal...

1 commentaire:

Unknown a dit…

Je découvre "Touchez pas au grisbi" tandis que "Le Salaire de la Peur" que je connaissais, j'aurais pas cru qu'il datait d'aussi loin que 1953.

Bon dimanche.

Linda