Pour finir l'année,
deux très grands films,
et le choix de
leurs scènes finales,
qui sont entrées
au Panthéon
des scènes mythiques du cinéma.
Tout d'abord,
"Les 400 coups" de Truffaut (1959)
Avec : Jean-Pierre Léaud (Antoine Doinel),
Claire Maurier (Mère d’Antoine), Albert Rémy (Père adoptif d’Antoine),
Guy Decomble (Le professeur). 1h34.
Une excellente analyse, comme toujours,
sur le site du cinéclub de Caen :
Et "A bout de souffle" de Godard (1959)
Avec : Jean-Paul Belmondo (Michel Poiccard), Jean Seberg (Patricia Franchini),
Daniel Boulanger (l'inspecteur Vital), Jean-Pierre Melville (Parvulesco),
Henri-Jacques Huet (Antonio Berrutti),
Roger Hanin (Karl Zumbar), Jean-Luc Godard (Le mouchard). 1h27.
Avec, en cliquant ici,
une pertinente analyse
et un résumé très précis.
On ne se lasse pas de voir les 4cv,
les Dauphine, les Aronde, les Traction 15cv, les Juva 4
garées dans les rues du Paris de cette époque...
et un résumé très précis.
On ne se lasse pas de voir les 4cv,
les Dauphine, les Aronde, les Traction 15cv, les Juva 4
garées dans les rues du Paris de cette époque...
2 commentaires:
D'À bout de souffle, je me rappellerai toujours la scène sur la plage où la jeune femme dit : " Qu'est ce que je peux faire ? J'sais pas quoi faire. "
Pour Antoine Doinel, la scène qui m'est restée mais je ne sais si elle est dans les 400 coups, Antoine grimpé sur les épaules de son père lui dit : Accroche-toi papa.
Ce fut un rôle qui bien joué par Jean-Pierre Léaud, a compliqué sa vie. C'est mon impression, qu'il a été malheureux par la suite.
Bonne journée.
Linda
Bonjour Toti,
Ces dernières années, les meilleurs films que j'ai vus, c'est au Lux à Caen, leur sélection est excellente, et ce sont des vrais pros...
Bernard
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