1964,
l'année des
"Parapluies de Cherbourg",
du "Gendarme de Saint-Tropez"
et des "Cheyennes" de John Ford,
mais aussi de "Week-end à Zuydcote"
d'Henri Verneuil.
(Jean-Paul Belmondo,
Jean-Pierre Marielle, Pierre Mondy, François Périer,
Georges Géret et Catherine Spaak) L'intrigue du film se déroule
durant la bataille
de Dunkerque (25 mai -3 juin 1940),
Zuydcote étant une commune proche de ce port...
Il est adapté du roman éponyme de Robert Merle
qui fut fait prisonnier à Dunkerque en juin 1940.
En neuf jours, 338 226 combattants (dont 123 095 Français) ont pu être évacués;
la Wehrmacht a capturé quelque 35 000 soldats, quasiment tous Français.
Encerclées à Dunkerque, les troupes franco-britanniques
ont mené une résistance désespérée,
destinée à gagner un laps de temps nécessaire
à l'embarquement du gros des troupes
vers le Royaume-Uni, aidées par l'indécision d'Adolf Hitler
qui donna un ordre d'arrêt des armées allemandes devant Dunkerque.
L'évacuation s'est opérée à l'aide de tous les navires
que la Royal Navy put réquisitionner pour traverser la Manche.
(Wikipedia)
Ce film est bien représentatif
de « La qualité française » des années 60.
Un cinéma de vedettes et de scénaristes :
un cinéma « de film du dimanche soir » de notre enfance...
Le film m'a toujours fait penser
à ces vers d'Aragon :
"Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
À quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains"
1 commentaire:
Je ne connaissais pas du tout ce film. Merci de le porter à notre attention.
bonne journée.
Linda
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