Pointu à Cassis

Pointu à Cassis
Pointu à Cassis (photo Toti)


« C'est ici un blog de bonne foi, lecteur.
Il t’avertit dès l’entrée que je ne m’y suis proposé aucune autre fin que culinaire et privée.
Je n’y ai aucune préoccupation de ton service ni de ma gloire.
Je l’ai consacré à la commodité particulière et gastronomique de mes parents et amis.
Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière culinaire de mon blog :
il n’est pas raisonnable que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain ».


dimanche 27 mai 2012

Ma dernière séance (1) : les années 80

1980,
encore une grande année qui ouvre
cette décennie...
Si on peut oublier 
"L'Avare, La Boum et Les Charlots contre Dracula",
en revanche,
et le splendide  Shining
resteront inoubliables...

Notre choix se portera 
un très grand Truffaut,
dans lequel 
"Paris est un théâtre d'ombres et d'espaces clandestins".
Je vous renvoie à la fine analyse
du Cndp 
(et la reprise d'un texte 
de "L'avant-scène du cinéma")
que vous trouverez ici.


2 commentaires:

Unknown a dit…

J'ai un commentaire qu'il faut prendre pour ce qu'il est et rien de plus, à savoir d'une personne qui écoute des sitcoms américains et s'amuse ferme à le faire...
Donc, j'ai l'impression que les années 80, dans le cinéma français ont introduit des films où l'on parlait beaucoup, où le texte avait beaucoup d'importance plus que le jeu physique des comédiens. Je peux être dans l'erreur. Je dis ça en enlevant rien au génie de Truffaut et au bonheur qu'il m'avait donné avec Vivement dimanche !

Linda

Totirakapon a dit…

C'est vrai que le cinéma français de ces années-là est "un cinéma de dialogues", parfois très brillants ! D'ailleurs, "Le Dernier Métro" est quasiment du théâtre filmé !
"Vivement Dimanche" fera partie évidemment de notre sélection !