Pointu à Cassis

Pointu à Cassis
Pointu à Cassis (photo Toti)


« C'est ici un blog de bonne foi, lecteur.
Il t’avertit dès l’entrée que je ne m’y suis proposé aucune autre fin que culinaire et privée.
Je n’y ai aucune préoccupation de ton service ni de ma gloire.
Je l’ai consacré à la commodité particulière et gastronomique de mes parents et amis.
Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière culinaire de mon blog :
il n’est pas raisonnable que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain ».


vendredi 18 mai 2012

Ma dernière séance (14) : les années 70

1978
est encore une année faste
avec :

Mais nous avons préféré
"Les Bronzés"
film de Patrice Leconte,
à l"humour typique de cette fin de décennie...
"...la sortie de ce film a donné accès à un large public à un style d’humour différent, auparavant réservé à ceux qui se déplaçaient dans les cafés-théâtres. Un humour mordant, vachard, sans grande pitié. Le Splendid avait touché là un point précis. Avec Le Père Noël est une Ordure, ils brocarderont des personnages caricaturaux, souvent éloignés de nos réalités quotidiennes. Avec Les Bronzés, la donne est différente : tout le monde a déjà failli gifler un type ressemblant à Clavier. Gérard Jugnot est le sosie du type qui a épousé votre sœur. Et surtout, chacun d’entre nous a connu un Jean-Claude Dusse. Mais attention, on ne se sent pas visés ; Jean-Claude Dusse, c’est les autres." (Lire la suite sur http://www.dvdclassik.com/critique/les-bronzes-leconte) 





Quelques répliques :

"On plaisantait, mes mots on dépassé mes paroles..."

"- J'ai vécu avec une femme, et puis au bout de quarante-huit heures, elle a décidé qu'on se séparerait d'un commun accord. Alors j'ai pas bien supporté.J'ai même essayé de me suicider.
- Comment ça ?
- On est jamais très original dans ces moments là. J'ai mis l'adagio d'Albinoni, j'ai avalé deux tubes de laxatif et puis hop ! J'ai perdu 16 kilos et ma moquette."...

Bonne journée à tous !

4 commentaires:

Mireille a dit…

Bien sûr on a tous en nous quelque chose des "Bronzés". Un de ces personnages nous ressemble toujours un peu. Mais quitte à paraître futile
et légère d'esprit. La Cage aux folles pour les performances d'acteurs m'enchante et un autre que vous n'avez pas cité mais qui fut le reflet d'une partie de ma génération et une peinture malgré tout acide d'une certaine société Amèricaine "la fièvre du samedi soir". Mais ça c'était l'époque ou je me perdais sur les "dance floor". Amitiés. Mireille

Totirakapon a dit…

J'avoue ne pas avoir aimé la période disco, donc, je n'ai jamais vu "La fièvre du samedi soir" !... Ni tous ceux qui ont suivi, dans le même style..
Je dois être le seul dans l'Univers...

Unknown a dit…

Merci d'avoir mis dans ta liste L'Arbre aux sabots, un film aussi beau que certains romans peuvent l'être. Ce qui ne veut pas dire que je n'aime pas rire et certaines comédies me font un bien immense.

Bonne journée.

Linda

Mireille a dit…

Ceux qui ont suivi n'avait pas la même "saveur" et, n'étaient que de pâles "remake" qui n'avaient aucun message à faire passer. En dehors du phénomène "disco" La fièvre du samedi soir, nous entraînait dans le constat d'une jeunesse paumée qui allait se perdre dans beaucoup de paradis artificiels différents. Pour certains comme moi ce fut le déclic. Pour d'autres..... hélas. Ceci n'engage que moi. Mireille