Aujourd'hui,
pour commencer la semaine, ce sera
"Johnny B. Good"
de Chuck Berry...
Tout le monde sait que,
dans le film,
Marty McFly interprète ce titre en 1955,
dans le lycée de
ses parents, à la « Féerie dansante des sirènes ».
Marvin Berry, un membre du
groupe de musique
chargé d'animer la fête,
téléphone à son cousin, un certain
"Chuck",
pour lui faire part de cette découverte musicale.
La chanson a été aussi utilisée
dans "Le Péril jeune"
de Klapisch en 1994,
et probablement dans bien d'autres...
Comme nous le rappelle Wikipedia, le film n'a pas connu que de bonnes critiques, à sa sortie....
« Cette mouture
comédie S.F.-pop-corn a beau avoir battu des records d'entrées aux
États-Unis, elle a beau être un pur produit de l'école Spielberg-Zemeckis, on
a bien du mal à y voir autre chose qu'une exploitation facile de l'imagerie
rock'n'roll et (encore) une glorification un peu bêta de l'Amérique, une ! »
— Stella Molitor,
Première
« On accepte ou non,
on vibre ou non à cette charge démente concoctée par ces purs cinglés de
cinéma que sont ceux de la bande à Spielberg, le producteur du film. Ne projetons
pas notre moralisme sur ce conte déchaîné franchement drôle, témoignage
paroxystique d'une société qui ne doute de rien. »
— Louis Marcorelles,
Le Monde
« Un exploit
enchanteur qui s'accompagne aussi d'un retour aux fifties, très habile, à une
ancienne fureur de vivre qui fait rêver aujourd'hui, sans oublier l'hommage
au rock et à ses pionniers. [...] Il faut donc saluer l'intelligence des
prouesses de la mise en scène, qui ne se résume pas aux effets techniques,
aux trucages époustouflants, mais réussit le mariage du style futuriste et
rétro comme au temps fabuleux des surréalistes. »
— Anne de Gasperi, Le
Quotidien de Paris
« Back to the future, dites-vous ? On
a plutôt envie de dire No Future. Pour l'instant, entre la guimauve
faussement nostalgique et l'hémoglobine communiste, vous n'avez que
l'embarras du choix. »
— M.P., Le Matin
« [...] un des plus
consternants navets qu'ait produit la bande à Spielberg... [...] Retour vers
le futur est le ramassis d'images le plus inoffensif que l'Amérique nous ait
envoyé depuis des années. Quant à Bob Zemeckis, son amour des mouvements
d'appareils pour rien, son manque de temps absolu dans la direction
d'acteurs, sa conception hystérique de la mise en scène en font d'ores et
déjà le prétendant idéal de Tavernier américain. »
— L.S., Libération
« Retour vers le
futur, spectacle agréable et délassant, risque, avec le temps, de devenir un
film de référence. »
— Robert Chazal,
France Soir
Sur ce,
bonne semaine à tous !
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1 commentaire:
Quand "Retour vers le futur" est présenté pour la ixième fois à la télévision, je ne peux m'empêcher de penser que Michael J Fox avait sa vie devant lui et qu'il ignorait l'ampleur du défi qu'elle lui réservait.
Les critiques ne sont pas unanimes mais celui qui a dit que ça deviendrait un film culte, n'avait pas tort. Et le cinéma est aussi fait pour nous divertir, mission accomplie à mon avis.
Linda
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