Pointu à Cassis

Pointu à Cassis
Pointu à Cassis (photo Toti)


« C'est ici un blog de bonne foi, lecteur.
Il t’avertit dès l’entrée que je ne m’y suis proposé aucune autre fin que culinaire et privée.
Je n’y ai aucune préoccupation de ton service ni de ma gloire.
Je l’ai consacré à la commodité particulière et gastronomique de mes parents et amis.
Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière culinaire de mon blog :
il n’est pas raisonnable que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain ».


jeudi 1 décembre 2011

Ma dernière séance (11) : les années 50

Deux grands "polars" pour cette année 1954,
"Les diaboliques"
d'Henri-Georges Clouzot
avec Paul Meurisse et Simone Signoret...
mais aussi de futures célébrités :
Parmi les élèves du pensionnat se trouvent deux figurants célèbres : Georges Poujouly et Johnny Hallyday.À noter aussi, l'apparition de Jean Lefebvre en soldat ivre et celle de Michel Serrault, qui débutait au cinéma.

Le roman de Boileau-Narcejac a fait l'objet, en 1996, d'une nouvelle adaptation réalisée par Jeremiah S. Chechik, sous le titre Diabolique, interprétée par Sharon Stone (la maîtresse) et Isabelle Adjani (la femme). La fin en est toutefois très différente.
Alfred Hitchcock, après le succès du film, demanda à Boileau-Narcejac de lui écrire un scénario dans la même veine que celui des Diaboliques : ce fut "Sueurs froides". (sources wikipédia)



Christina, une institutrice, mène une existence malheureuse auprès de son mari, le tyrannique Michel Delasalle, directeur du pensionnat pour garçons dans lequel elle travaille. Elle sait qu'il a une maîtresse, Nicole Horner, ce qui n'a pas empêché les deux femmes de se rapprocher l'une de l'autre. Christina voit en effet en Nicole une compagne d'infortune, partageant avec elle sa haine envers Michel. Lorsque Nicole demande à Christina de l'aider à tuer Michel, celle-ci accepte...

Et puisque nous parlions du grand Alfred,
"Le meurtre était presque parfait"
sera notre deuxième sélection.

Tony Wendice, ancien champion de tennis, craint que sa femme Margot, qui a une aventure avec Mark Halliday, auteur de romans policiers, n'en vienne à le quitter en le laissant financièrement démuni.
Aussi échafaude-t-il un plan pour faire assassiner Margot par un comparse pendant qu'il se sera forgé un alibi inattaquable. Mais dans toutes les mécaniques bien huilées, un grain de sable peut toujours se glisser…
(wikipédia)

3 commentaires:

COLIBRI a dit…

Je connais les deux presque par coeur, à force de les avoir vus, mais j'ai une nette préférence pour Les Diaboliques, qui me fascine toujours autant, et j'adore Clouzot dont les films passent mieux le temps, je trouve, que ceux d'Hitchcock... Aahhh, La Prisonnière, avec Elisabeth Wiener et le grand Laurent..., dis, tu l'as dans ta cinémathèque ;)))

Totirakapon a dit…

Oui, il est prévu dans les années 60 !
Un film très étrange !

Unknown a dit…

Avant de quitter les années 50, est-ce qu'on aura droit à un film de guerre (la guerre 39-45 ou la guerre de Corée)? J'en ai tant vu quand j'étais jeune qui avaient été faits dans les années 50.

Clouzot savait créer une ambiance. On est rivé à l'écran.

Linda